La grande force de ce long métrage (et de sa suite) est de ne pas rentrer dans la surenchère gore habituelle des productions américaines de bas étage mais de toujours jouer sur une tension permanente. Les séquences plus calmes n'en sont pas vraiment et l'ambiance anormalement silencieuse auront de quoi effrayer les plus fragiles.
Pourtant chez certaines personnes (Danny Boyle en tête), le film ne figure pas réellement parmi le genre zombie. L'explication ne tient que sur un seul et unique point : les humains ne reviennent pas à la vie mais sont contaminés... Admettons...
Selon moi, les rapprochements laissent à penser que malgré cette différence de contamination du syndrome zombiesque, les effets sont les mêmes. Envie de grignoter son voisin, d'en foutre partout, d'avancer plus ou moins vite selon,... La façon de voir revenir un mort à la vie a toujours été montrer de façon très varié, sujet d'une malédiction, enfer débordant de monde,... Rajoutons que dans la suite 28 semaines plus tard, certains personnages parlent bien de mort.
Histoire de définitivement faire son choix, il faudra peut être attendre que Danny Boyle revienne derrière la caméra sur le troisième film 28 mois plus tard dont l'action aurait lieu en Russie...
Et pour vous, 28 jours plus tard, zombie or not ?
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